20 ans sans pouvoir fuir le sida
2001/06/05 Galarraga Aiestaran, Ana - Elhuyar Zientzia
Ce fut ‘XX. Première empreinte écrite de ce qu’on appelle l’épidémie du XXe siècle. Cependant, le virus polluait depuis des années des personnes du monde entier. En effet, le chercheur de l'Institut Pasteur Luc Montaignier et l'Américain Robert Gallo ont détecté séparément le virus du SIDA vers 1978.
L'origine du SIDA n'est pas claire, mais certains pensent que des singes africains ont produit un virus adapté à l'être humain. Au début, il était inconnu, s'est rapidement développé et a causé de nombreux décès (22 millions de morts dans le monde et 40 millions de personnes souffrent de virus ou de maladie).
Bien que les laboratoires et les États du monde entier étudient le SIDA, aucun remède n'a encore été obtenu. Cependant, beaucoup de progrès ont été accomplis et, bien qu'auparavant la possession d'un virus constituait une mort certaine, la survie des personnes infectées et des malades a maintenant considérablement augmenté. Parallèlement, un grand travail a été accompli dans la prévention, ce qui permet de réduire les cas dans différents pays chaque année. Malheureusement, surtout dans les pays du sud du Sahara, la situation est très grave et l'épidémie continue d'augmenter en raison du faible impact des campagnes de prévention et de la difficulté d'obtention de médicaments.
D'autre part, les recherches sont menées dans tous les domaines: connaître le virus, connaître le mécanisme de contamination, améliorer les médicaments, clarifier leur relation avec la génétique et surtout obtenir le vaccin. Et il semble que ces derniers temps on obtient des résultats encourageants, car la semaine dernière, un vaccin efficace a été signalé dans un laboratoire belge.
Selon le laboratoire GlaxoSmithKline, ce vaccin permettait aux singes infectés plus d'un an et demi à l'avance de rester en bonne santé et d'effectuer des tests cliniques avant la fin de l'année. Le vaccin se compose de deux antigènes et d'un composant auxiliaire. L'un des antigènes, le GP120, a une bonne réponse immunitaire au virus et est connu depuis longtemps. Mais l'autre antigène (NefTat) est nouveau et se compose de deux protéines régulatrices de virus. Le virus a besoin de ces deux protéines pour se reproduire dans le corps humain, de sorte que les chercheurs croient qu'ils ont trouvé la clé.
Certes, les bons résultats du vaccin chez l'homme seraient une réalisation énorme, mais les autres lignes de recherche doivent aller de l'avant et la lutte doit continuer dans tous les domaines, parce que la victoire est encore loin.
Informations complémentaires: http://www.cnn.com/SPECIALS/2001/aids/stories/diagnosis.then.now/index.html http://abcnews.go.com/sections/us/dailynews/aids_intro.html
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